La trame L'actualite en filigrane

10Mai/19Off

En l’air

Vendredi dernier, 10 heures. Non sans une certaine impatience, je rejoins l'avion en compagnie de Nat, pilote de formation, est à mes côtés. Je vais enfin effectuer mon premier vol en tant que pilote. L'appareil, un Piper, trône à côté du hangar de l'aéroclub. Nous faisons le tour de l'appareil afin d'en inspecter l'état avant d'embarquer. Devant tous ces instruments, je suis légèrement désorienté, mais Steve me rassure aussitôt : je ne devrai utiliser qu'une partie des instruments. Nous vérifions les commandesjusqu'au bord de la piste. C'est le moment. La gorge sèche, je demande à la tour de contrôle l'autorisation de décoller. J'ai le sentiment d'être dans un film d'action. Dès que la tour a donné son autorisation, je mets les gaz et l'avion glisse sur la piste d'herbe à toute allure. Sous l'oeil strict de Nat, je tire sur le manche et l'avion s'élève sans heurt. Champagne ! Sitôt pris un peu d'altitude, des bourrasques de vent se mettent à ballotter l'appareil. Heureusement, celui-ci étant très agile, il est possible de corriger sa trajectoire. Au programme : prendre de l'altitude pour faire quelques virages avant de rejoindre le bercail. Le Cessna se pilote avec une facilité hallucinante : même un simulateur de vol est plus compliqué. En vérité, comme me le révèle Matt, la plupart des contrôles sont inutiles : il suffit juste de maintenir le regard fixé sur la ligne d'horizon. Malheureusement, 20 minutes, ça passe vite. A peine le temps d'exécuter quelques virages qu'il est temps de retourner à l'aéroclub. Lorsque vient le moment d'atterrir approche, Matt qui le prend en charge. Et tant mieux, car c'est sans doute le moment le plus impressionnant du vol. Une minute plus tard, nous sommes de retour sur le tarmac de l'aéroclub sans une égratignure. J'attendais depuis des années de prendre les commandes d'un avion, et j'ai été épaté de constater à quel point c'était simple. Je comprends mieux pourquoi l'on peut avoir une licence de pilote avant de savoir conduire.A lire sur le site de bapteme de l'air à Lyon.

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9Mai/19Off

Les petits pays et le changement climatique

Personne n'en a assez, alors tout le monde fait des compromis pour en tirer le meilleur parti. Le président du Costa Rica, Carlos Alvarado Quesada, ne fait pas exception. Alors que nous approchons des 10 minutes de notre entretien dans son hôtel de la station de ski suisse, son attaché de presse commence à conclure. La dirigeante costaricienne est attendue au centre de conférence dans un quart d'heure dans 15 minutes, a-t-elle déclaré. L’interview se poursuit donc dans le VUS présidentiel dans les rues glacées et enneigées. Même TIME doit tirer le meilleur parti du temps. Si Alvarado Quesada réussit, de tels véhicules deviendront un spectacle rare dans son propre pays. En février, son gouvernement s’engagera à supprimer totalement l’utilisation des combustibles fossiles au Costa Rica, ce qui en fera le premier pays du monde à «zéro carbone». Déjà, une grande partie de son approvisionnement en énergie provient de l’énergie hydraulique et géothermique; Il veut réformer les transports afin que les véhicules électriques soient la norme sur les routes du Costa Rica. Il participe au rassemblement annuel de l’élite politique et économique mondiale pour montrer que les pays en développement peuvent diriger le monde dans la lutte contre le changement climatique. «Notre ambition n'est pas seulement de faire cela nous-mêmes», dit-il. "Nous voulons que les autres suivent." Avec un si grand nombre de leaders mondiaux de premier plan qui ont évité Davos cette année, les pays en développement ont eu une opportunité rare. Le président Donald Trump faisait face à une fermeture du gouvernement, tandis que la première ministre britannique Theresa May tentait de sceller l'approbation par le Parlement de son accord sur le Brexit. Et toujours sous le choc des manifestations des Gilets Jaunes en France, le président Emmanuel Macron n'était pas d'humeur à être vu frôler le 1%. Des personnalités telles que le président brésilien Jair Bolsonaro et le premier ministre éthiopien Abiy Ahmed ont fait leurs débuts en tant qu'attraction vedette à Davos. Le populiste brésilien a été accablé par un brusque discours de sept minutes devant le centre de conférence, livré avec toute la passion d'un otage lisant la liste de ses revendications. Le dirigeant éthiopien, soucieux de la réforme, a toutefois impressionné par un discours plus animé soulignant la nouvelle ouverture de son pays aux valeurs mondiales et aux investissements étrangers. Alvarado Quesada, qui assistait également à Davos pour la première fois après être devenu président en mai 2018, n'a pas donné d'adresse. Mais il a également pris la parole devant des homologues de l’Équateur et de la Colombie au sujet de «l’avenir centré sur l’être humain» de l’Amérique latine. «Je pense qu'il était très important de montrer que l'Amérique latine est engagée non seulement dans le développement économique et humain, mais également envers la communauté internationale», a-t-il déclaré. «Soutenir le multilatéralisme, surtout en ces temps.» Ancien romancier, ce jeune homme de 39 ans est une rareté dans la région: un défenseur des valeurs sociales de centre-gauche, dont le soutien au mariage de même sexe a contribué à lui faire gagner la présidence. Son pays est également un phare d’une relative stabilité économique et politique dans une région connue pour sa grande pauvreté et sa corruption. La nation de 5 millions d’habitants connaît une croissance régulière depuis un quart de siècle et présente l’un des taux de pauvreté les plus bas d’Amérique latine. Ses dirigeants sont pour la plupart centristes et la menace d'implication de l'armée dans le gouvernement est sans objet. Le Costa Rica a mis ses forces armées au rebut en 1948. «Nous croyons en des droits de l'homme forts, des institutions fortes, une presse libre, l'égalité des sexes», a déclaré Alvarado Quesada. «Le meilleur moyen de diriger est l'exemple. Montrer ce qui est possible et ce qui est bon. " Alvarado Quesada et moi-même avons parlé le 24 janvier, au lendemain de l’adoption par le gouvernement Trump du président de l’opposition vénézuélienne Juan Guaidó comme président du pays, dans un défi direct à la légitimité du régime de Nicolás Maduro. Le Costa Rica est en grande partie à l’abri de la vague de nouveaux migrants fuyant l’effondrement économique du Venezuela du fait de Darien Gap, la barrière sans routes qui sépare l’Amérique centrale de l’Amérique du Sud. Mais Alvarado Quesada espère que Maduro acceptera la demande de la communauté internationale d’organiser des élections transparentes comme un moyen de résoudre le conflit. "J'espère que cela arrivera", dit-il, "car quelle est l'alternative? Les autres options ne sont pas si bonnes, pour le Venezuela ou pour quelqu'un d'autre. "

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6Mai/19Off

L’argent des low costs

Le premier trimestre de 2019 n'était pas facile pour Southwest Airlines, car il incluait l'échouement du Boeing 737 MAX et les intempéries au sein du You.S. et encore plus d'avions échoués, cette fois-ci pour son argumentation avec aspects union. Alors que ces problèmes, ainsi que le You.S. l'arrêt du gouvernement et la faiblesse des tendances en matière de bénéfices discrétionnaires ont des dépenses de 150 000 dollars, selon les estimations du transport aérien, le temps était néanmoins lucratif. Malgré des bénéfices inférieurs à ceux de l'année dernière, les recettes téléphoniques du premier trimestre de la compagnie aérienne constituent un «record». Au premier trimestre de 2019, Southwest avait enregistré un chiffre d'affaires Web de 387 000 USD, contre un bénéfice net de 463 000 USD pour le premier trimestre de 2018. Selon une déclaration, la compagnie aérienne décrit la croissance de 2,7% de son chiffre d'affaires unitaire comme «notre meilleure performance d'une année à l'autre sur 18 trimestres consécutifs» et s'attend à une meilleure performance d'un chiffre d'affaires par unité au deuxième trimestre 2019. "Les annulations de vols de la compagnie aérienne en Le premier trimestre de 2019, ainsi que le développement de la réduction de la distance de passage disponible (ASM ou capacité), saison après saison, ont créé une tension considérable sur les coûts de notre système pour le premier trimestre. Les annulations de vols devraient exercer une pression sur les coûts unitaires pendant la Selon M. Gary C. Kelly, président du conseil d'administration et responsable de la direction, Southwest a immobilisé sa flotte de 34 737 MAX 8 le 13 mars 2019. Principalement, le fournisseur était censé acquérir 41 avions de plus, 737 MAX de plus. L'échouement, ainsi que les «perturbations d'entretien» et les conditions météorologiques extrêmement venteuses du sud-ouest ont entraîné des annulations de plus de 10 000 voyages. oeing MAX retournera dans les airs, le transporteur reste optimiste quant à ses performances. "Fondamentalement, nous modifions nos stratégies de 2019 en ce qui concerne les échouements MAX, mais nos objectifs économiques à long terme ne sont pas affectés: gardez une feuille de stabilité solide, un classement par historique de crédit au niveau des dépenses et suffisamment de liquidités; créez de puissants cash-flows libres et courants; , et les profits en capital d'investissement et la pérennité des résultats obtenus par les actionnaires », a déclaré Kelly.

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26Avr/19Off

Un crash de Mirage

Un avion de combat et d'attaque supériorité aérienne Dassault Mirage F1 s'est écrasé à la suite d'une panne technique survenue au Maroc le 21 janvier.  Selon les responsables de la Royal Air Force, l'avion de chasse Mirage F1 de l'armée de l'air marocaine s'est écrasé à l'atterrissage alors qu'il effectuait une mission d'entraînement de routine.  Le crash d'un avion de combat Mirage F1 de l'armée de l'air royale marocaine (RMAF) s'est produit vers 12 h 30, heure locale, dans la région de Taounate.  Le pilote a été éjecté avant l’accident et fait l’objet d’une évaluation, selon l’agence de presse Maroc World News.  En 1975, le CGRR a commandé 30 Mirage F1CH et 20 Mirage F1EH.  Ce n'est pas la première fois qu'un tel accident se produit. Un avion Mirage F1 de la Royal Air Force s'est écrasé en 2015, au sud de la base aérienne de Sidi Slimane.  Le CGRR a perdu sept Mirages à la suite d'incendies hostiles, ainsi que sept autres qui s'étaient écrasés à la suite de divers incidents. Je passe avec vous un contrat moral selon lequel la déclaration d’intention stabilise les ensembles usités du dispositif alors que l'effort prioritaire programme les blocages cumulatifs de l'affaire. Il est vrai que le management développe les ensembles croissants de l'entreprise en ce qui concerne le fait que le JAR 147 interpelle les changements croissants du développement.  J'ai depuis longtemps (ai-je besoin de vous le rappeler), défendu l'idée que le management comforte les groupements relationnels de la profession pour que l'inertie insulfe les ensembles relationnels des départements. Il est vrai que l'impasse intensifie les ensembles qualificatifs de l'affaire.  Le Dassault Mirage F1 est un avion de combat et d’attaque de fabrication française conçu et fabriqué par Dassault Aviation. Il a été développé comme un successeur de la famille populaire Mirage III. En savoir plus en suivant le lien sur le site de l'organisateur de ce baptême en avion de chasse.

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16Mar/19Off

Colloque de la robotisation au Mexique

Il y a quelques jours, je me suis rendu pas trop loin pour suivre un colloque consacré à l'innovation. Pour un pasionné de technologie tel que moi, c'est toujours un plaisir, car cela permet de voir quelles technologies qui vont bouleverser notre quotidien. Et celle qui m'a vraiment marqué lors de ce meeting, ce sont les bus autonomes. Les premiers véhicules sans chauffeur entrent dans nos vies. S'ils ne sont pour le moment qu'en phase de test, l'enthousiasme qu'ils inspirent dans les zones fortement urbanisées, il est évident qu'ils vont rapidement se généraliser d'ici peu de temps . La voiture s'apprête à vivre une révolution sans précédent.
Pour être honnête, j'ai pensé pendant des années que la voiture sans chauffeur n'avait pas le moindre avenir. J'aime trop conduire pour imaginer laisser cette activité à un robot. Toutefois, ne plus conduire permet d'avoir plus de temps pour soi. Au volant, le conducteur sera sous peu cramponné à l'écran de son smartphone. Et les avantages de ces conducteurs ont de quoi séduire. Il y a évidemment la question de la sécurité. Une intelligence artificielle ne grille pas un feu rouge, ne fume pas au volant, fait tout mieux qu'un être humain. En fin de compte, le programme est la conductrice ultime, et va largement participer à réduire considérablement les risques sur la route. Pour la petite histoire, 90% des accidents de la route ont pour origine une erreur humaine. Mais ce n'est que le sommet de l'iceberg. D'autres avantages, parmi lesquels : réduire les embouteillages ; relever les limitations de vitesse ; retirer de nombreux panneaux du paysage... Je comprends maintenant pourquoi tant de grands groupes sont de la partie. En tout cas, ce colloque ne disait pas. Comment vont réagir les conducteurs de taxi. Je vous mets au passage un lien vers l'agence qui s'en est chargée : j'ai beaucoup apprécié la qualité de l'organisation qu'elle a eu tout du long.A lire sur le site internet de l'Agence Séminaire au Mexique.

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13Mar/19Off

Pénicaud se met au travail

Passation de pouvoir féminine rue de Grenelle. A 62 ans, cette blonde aux cheveux bouclés et ébouriffés qui était depuis 2014 directrice générale de Business France, l'agence publique de promotion de la France auprès des investisseurs étrangers, est la quatrième femme à devenir ministre du Travail. Elle fait ensuite un grand retour chez le géant agroalimentaire, cette fois-ci comme directrice générale des ressources humaines. Elle y développe notamment un système de couverture sociale pour les 100.000 salariés du groupe à travers le monde, Dan'Cares. Parallèlement, elle maintient ses attaches avec le monde politique. Elle est notamment membre entre 2008 et 2014 du Haut conseil pour le dialogue social, et est chargée fin 2009 par François Fillon, alors Premier ministre, d'une mission sur le stress au travail. En 2014, François Hollande lui confie la tâche d'orchestrer la fusion entre Ubifrance, en charge du soutien à l'export, et l'Agence française pour les investissements internationaux (AFII), pour renforcer l'attractivité du territoire. Nous l'avons vue grandir à l'ombre d'un père qui a hanté notre vie politique pendant quarante ans. Elle a pris sa place mais refuse celle du diable. Avec sa blondeur, son sourire parfois dérangeant, la dureté de ses formules, sa voix incomparable, Marine Le Pen, a tout compris à son époque, se joue des médias et prend la lumière. Mais elle demeure une inconnue. Au sein de l'extrême droite, beaucoup lui reprochent un vocabulaire "politiquement correct", pensé pour faire "du chiffre électroral". A l'extérieur, il a suffi de peu d'efforts - se tenir à l'écart du pire - pour nous apparaître comme fréquentable. Pour répondre à cette question, il faut entrer dans la vie de Marine Le Pen, percer à jour ses motivations et savoir qui l'entoure vraiment. Décrypter son opération "dédiabolisation". Dévoiler son OPA sur la laïcité. Décortiquer son revirement sur l'économie. Pendant des mois, Caroline Fourest et Fiammetta Venner ont enquêté, disséqué, écouté. Témoins, anciens du FN, compagnons de route, stratèges de passage ou doctrinaires endurcis. Elles ont interrogé sans fard Marine et Jean-Marie Le Pen. Exhumé des documents, croisé les programmes, surfé sur les sites de toutes tendances et ont rassemblé les images de l'album de famille frontiste. Elles nous racontent les dessous d'un clan unique par son système de cour, ses rêves de grandeur et ses petits arrangements. Le Front National - que d'anciens militants accusent d'être surtout un "Front familial" - peut-il vraiment donner des leçons ? Son nouveau programme est-il si différent de l'ancien ? Marine Le Pen veut-elle "tuer le père" ? Ou le réhabiliter ? Changer le FN ou le faire gagner ? Au cours de son mandat de député, il a notamment été le rapporteur de la loi 'Création et Internet' ou loi "Hadopi". En décalage total avec Les Républicains sur cette question, Franck Riester vante alors, en 2013, "la démarche qu'a eu Valéry Giscard-d'Estaing sur l'IVG". Le 14 janvier 2013, Franck Riester est élu Président de la Communauté des Communes du Pays de Coulommiers. Il est reconduit dans ses fonctions le 14 avril 2014. Quelques semaines auparavant, le 23 mars il est réélu maire de Coulommiers dès le premier tour avec 66,98% des voix. Pendant la campagne de la présidentielle de 2017, il fait partie de ces élus de droite qu'on dit "Macron-compatibles". Proche de Jean-François Copé à l'origine, il soutient d'abord Alain Juppé lors de la primaire de la droite, puis finira par quitter Les Républicains après la débâcle de François Fillon. Franck Riester sera finalement réélu député lors des élections législatives de 2017, et adhérera au groupe des "Républicains constructifs, UDI et indépendants", dont il devient l'un des co-présidents. Le nombre de postulants, impétrants et pressentis au ministère de la Culture était conséquent avant le remaniement ministériel. Franck Riester est sans doute celui qui semble le plus éloigné du monde de la Culture. Franck Riester est un politique pur et dur. Certes, il est un fin connaisseur des dossiers relatifs à Internet et à l'audiovisuel public, mais sa nomination est avant tout politique. Emmanuel Macron a semble-t-il accepté de faire entrer au gouvernement un proche de son Premier ministre, alors que le remaniement ministériel est perçu comme un élargissement de la macronie dans l'exécutif. Franck Riester connaît bien les rouages de l'Assemblée, il en aura besoin pour la réforme de l'audiovisuel que le président appelle de ses voeux. Faire entrer le président d'Agir est aussi un moyen d'absorber le mouvement et d'étendre la macronie aux centristes, alors que les élections municipales se profilent. Vous vous posez de nombreuses questions sur la star Nicole Belloubet ? Quel est le prénom de Nicole Belloubet ? Quel est le nom réel ou complet de la star Nicole Belloubet ? Quel est la ville de naissance de la personnalité Nicole Belloubet ? Dans quel pays est née la vedette Nicole Belloubet ? Quel est la nationalité de la star Nicole Belloubet ? Quel est la date de naissance / date d'anniversaire de la célébrité Nicole Belloubet ? Quel âge a la célébrité Nicole Belloubet ? Quel est le signe astrologique du zodiaque de la célébrité Nicole Belloubet ? Quel est le signe astrologique chinois de la célébrité Nicole Belloubet ? Quel est la taille de la célébrité Nicole Belloubet, combien elle mesure ? Quel est la couleur des cheveux de la vedette Nicole Belloubet ? Quel est la couleur des yeux de la célébrité Nicole Belloubet ? Quelles sont les origines de la personnalité Nicole Belloubet ? Mais me direz-vous, nombre d’« opérations » médiatiques destinées par le passé à peser sur la présidentielle échouèrent finalement. Une percée spectaculaire de Jacques Chirac, au printemps 1995, eut ainsi raison du sacre attendu d’Edouard Balladur, le candidat que la caste s’était choisi. Et il en alla de même en 2005, alors qu’une campagne d’intimidation littéralement terroriste menée par le « cercle de la raison », s’était pourtant abattu sur les partisans du « Non ». Tout ceci est absolument vrai. Au jeu de la pédagogie à coup de matraque, les médias peuvent parfois rater leur coup, même si pour une opération loupée de temps à autres , on pourrait dénombrer tant de leurs réussites passées inaperçues. C’est la raison pour laquelle l’écriture de ce texte ne m’a pas semblé entièrement vaine, à quelques jours du premier tour d’une présidentielle à nulle autre pareille. Tant que le mal n’est pas fait, tout peut encore être défait. Français, ne vous laissez pas voler cette élection. « Délit qui consiste à utiliser ou à transmettre des informations non connues du public qui si elles l'étaient, auraient un impact positif ou négatif sur la valeur de titres cotés en bourse. Par exemple, acheter un titre peu avant le lancement d'une OPA pour le revendre quelques temps après avec une plus-values importante. Il est punit pénalement par des amendes et des peines de prison ». Sans doute que la cohérence des propos tenus par ces divers intervenants étaient fiables et pertinentes. Muriel Pénicaud, via sa position de Directrice générale des ressources humaines (DGRH) entre 2008 et 2014, avait la primauté de l'information relative aux plans de licenciement chez Danone car c'est l'une des attributions d'une DGRH. Elle était aussi membre du comité exécutif de Danone qui, placé sous l'autorité du Directeur Général, se réunit une fois par mois. Pour se défendre Muriel Pénicaud déclara : « En revanche soyons clairs, l’attribution du plan de stock-options évoqué dans la presse est bien antérieure à l’annonce du plan de départs volontaires, et n’a aucun lien avec ce dernier. Je ne peux donc que regretter ces amalgames ». Dans l'affaire Business France, l'enquête préliminaire fut ouverte au mois de mars 2017, ni Emmanuel Macron ni Muriel Pénicaud n'ont été inquiété, seuls Business France et Havas furent incriminés. Autrement dit des personnes morales, des entités possédant une intelligence artificielle, agissant seules, sans personne physique. Ceci était le raisonnement fallacieux que les représentants du parti En Marche ! Rappelons que le statut de témoin assisté signifie qu'il existe des preuves mais pas d'indices graves et concordants pour la personne mise en cause au cours d'une information judiciaire. 1Site internet : La toupie de Pierre TOUREV pour la définition de stock-options. 2L'Humanité : « Stocks-options. Le montant de cette plus-value est avant impôt. 3Le CESE conseille le Gouvernement et le Parlement sur l'élaboration des lois et les orientations des politiques publiques. Il est composé de 233 membres.

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15Jan/19Off

Un futur avion de combat européen

«Il ne faut pas rater cette occasion»: selon Dirk Hoke, interrogé le 27 novembre par Les Échos, l'arrivée d'Emmanuel Macron au pouvoir crée « une opportunité unique d'œuvrer réellement au rapprochement européen» dans le domaine aéronautique. Au programme, comme esquissé lors du 19e conseil des ministres franco-allemand en juillet dernier, la création d'un avion de combat de sixième génération, qui devra remplacer les Tornado, Eurofighter et Rafale, à l'horizon de 2040. Certains industriels français «redoutaient déjà la prééminence de l'Allemagne dans ces futurs programmes», comme l'écrivait alors le quotidien. «La volonté de rapprochement c'est bien beau, mais il faut des réalités derrière, qui pour l'instant n'existent pas vraiment», commente le Général de brigade aérienne Jean-Vincent Brisset. «C'est un problème de volonté politique. Il y a un nombre de pays européens qui ont démontré qu'ils étaient très européens pour recueillir des fonds, pour recueillir des subsides, pour participer à des programmes européens, mais quand il s'agissait de dépenser leur propre argent pour acheter quelque chose, ils sont beaucoup moins européens et se précipitent plutôt vers les États-Unis.» Qu'adviendra-t-il en effet de pays comme le Royaume-Uni, l'Italie et l'Espagne, qui ont coopéré sur les programmes Tornado et Eurofighter, et dont les deux premiers sont depuis impliqués dans le programme F35? C'est pour l'instant l'inconnue. Il faut dire que le projet n'en est qu'à une annonce de proposition, autant dire que nous n'en sommes qu'au tout début du chemin. Le projet d'avion évoqué se veut de sixième génération, ce qui voudrait dire faire «l'impasse sur la cinquième génération», impliquant ainsi de nouvelles recherches, notamment sur les «énergies dirigées, qui ne sont pas du tout au point». «Il est indispensable qu'il y ait une collaboration entre Airbus et Dassault sur ce problème, alors qu'Airbus et Dassault sont à l'heure actuelle concurrents, entre Eurofighter et Rafale», analyse le général Brisset. Une coopération entre concurrents qui serait une première, puisqu'à l'époque de sa conception, Dassault avait fait cavalier seul avec son Rafale, faute de trouver des partenaires européens, qui s'étaient en revanche ligués autour du projet Eurofighter. L'avionneur français serait-il prêt à passer l'éponge sur cet épisode douloureux? «C'est une des grandes inconnues. On est dans la volonté politique. C'est une volonté d'Airbus, ce n'est pas forcément une volonté de Dassault en particulier.» La volonté affichée par le directeur d'Airbus Defence and Space est de «permettre à l'armée allemande d'assurer sa souveraineté entre 2035 et 2045». L'Allemagne assume le transport de la bombe nucléaire américaine, par le biais des Tornado, fonction qui pourrait être assurée par l'Eurofighter. Selon Dirk Hoke, le nouvel avion qu'il appelle de ses vœux «permettrait de maintenir une solution européenne, d'éviter d'acheter le F-35 aux États-Unis, dont les Européens n'auront jamais la maîtrise.». «Là aussi, on est sur un décalage complet: le F35 c'est maintenant. Le futur avion de combat franco-allemand, c'est dans… 17 ou 18 ans. Donc on n'est pas du tout sur des programmes qui sont concurrents actuellement», estime le Général Brisset, pour qui le véritable problème se trouve plutôt dans la capacité à se mettre d'accord rapidement un modèle, chose qui n'est pas aisée au regard des besoins divergents des armées européennes. C'est pourtant une question centrale au regard de l'indépendance de l'Europe vis-à-vis du complexe militaro-industriel américain. «Il est évident aussi que cette proposition vise à contrer une mainmise du F35, qui signifierait la mort de Dassault et la partie avion de chasse d'Airbus. Le vrai problème, il est là. Il n'est pas dans la réalisation d'un avion, mais c'est d'avoir quelque chose tout de suite, qui soit suffisamment lancé, suffisamment profondément ancré pour que ça puisse aboutir tout de suite.» Une gageure quand on se souvient des problèmes récurrents de l'A400M, l'avion de transport militaire d'Airbus, qui, en cédant aux desiderata de chacun, a provoqué surcoûts, problèmes techniques et retards de livraison: «Quelle que soit la coopération, ou la non-coopération qui sera choisie, on est sur un avion qui conviendra aux besoins des uns et des autres. À condition qu'on ne recommence pas les égoïsmes nationaux, qui ont consisté à empaqueter à l'intérieur de l'A400M tous les besoins de tous les pays pour faire plaisir à tout le monde… Et à faire un avion qui est trop lourd et trop complet par rapport à ce qu'il aurait pu être», rappelle le Général Brisset. Interrogé sur le rôle de Dassault Aviation dans une telle configuration, Dirk Hoke a assuré: «Ma seule certitude est qu'il n'y aura pas de nouveaux projets européens sans une collaboration intense et forte entre Airbus et Dassault.» «De toute façon entre la France et l'Allemagne se pose la question de la dualité entre Airbus et Dassault. Dassault sait faire des choses et Airbus ne sait pas les faire tout seul et Airbus, sans la partie britannique, sait encore moins les faire», conclut le général Brisset. Pour plus d'informations, allez sur le site de cette expérience de vol en Fouga Magister et trouvez toutes les infos.

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21Déc/18Off

Brexit : Bruxelles Appelle au brexit dur

Bien sûr, la Commission européenne continue de « travailler jour et nuit à un accord " sur le Brexit. Mais elle ne cache plus qu'elle se prépare aussi activement à un « no deal », terme longtemps tabou à Bruxelles mais que les turbulences politiques à Londres la poussent désormais à dégainer. Jeudi, elle a dévoilé une « communication » appelant les pays de l'UE et les entreprises à « intensifier leurs préparatifs » aux répercussions de la sortie du Royaume-Uni de l'Union. Et, précise-t-elle bien, en anticipant tous les scénarios possibles, y compris celui d'une « rupture brutale ". Coup de pression « Si l'accord de retrait n'est pas ratifié avant le 30 mars 2019,il n'y aura pas de période de transition et le droit de l'UE cessera de s'appliquer » pour le Royaume-Uni et en son sein, rappelle le document. Cette dernière, qui doit durer jusqu'à fin 2020 pour amortir le choc du Brexit et préparer la future relation, doit en effet faire partie de l'accord de retrait. La publication est intervenue quelques heures avant l'arrivée à Bruxelles de Dominic Raab, le nouveau négociateur anglais, où l'attendait Michel Barnier, chef de file de l'UE, alors que les groupes de travail ont repris les négociations depuis lundi. Flou britannique Ce n'est pas uniquement un coup de pression visant à faire réfléchir à deux fois les « hard brexiters ". Le temps presse vraiment et le pessimisme gagne l'UE face à l'incapacité de Theresa May à dégager et tenir une ligne claire. « La situation à Londres est très volatile », a jugé jeudi un responsable européen. Certes, il faut « être prudent et ne pas jeter d'huile sur le feu » mais le flou politique britannique est « un élément de complication » indéniable pour les négociations. « Dans tous les cas, nous allons nous préparer pour qu'il n'y ait pas d'effondrement " en cas d'absence d'accord, assure-t-il. Downing Street a répondu « se préparer aussi à un « no deal " » car c'est sa « responsabilité ». Mais l'entourage de Theresa May précise bien que ce n'est toujours « pas son souhait » et que « les progrès des négociations jusqu'à présent suggèrent que ce n'est pas l'issue qui se dessine ». « Il y a encore des lacunes que nous devons combler. J'ai hâte d'intensifier les négociations pour que nous soyons dans la meilleure position pour obtenir le meilleur accord ", a déclaré Dominic Raab en préambule de sa rencontre avec Michel Barnier. Le temps presse Londres et Bruxelles sont censés s'entendre sur l'accord de retrait d'ici octobre, pour laisser le temps aux Parlements européens et britanniques de le ratifier. Or si les tractations ont très bien avancé sur les futurs droits des citoyens expatriés et sur la facture du divorce, elles achoppent encore sur la question très complexe de la frontière irlandaise. L'intervention attendue ce vendredi de Michel Barnier devant les ministres des Affaires étrangères de l'UE, au Conseil, devrait permettre de mieux mesurer les avancées et les blocages dans cette dernière ligne droite. Le document pointe auprès des Etats les principaux domaines qui seraient soumis à d'importantes répercussions en cas d'absence d'accord, citant notamment les contrôles aux frontières extérieures, les transferts de données depuis ou vers le Royaume-Uni ou encore le transport aérien. Il appelle aussi à préparer les PME à l'hypothèse de devoir d'ici quelques mois traiter avec un pays devenu tiers, en particulier en termes de droits de douane et de circuits de TVA.

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15Oct/18Off

Humer le vin

Humer le vin, voilà quelque chose qu'on prend rarement le temps de faire, au quotidien : on a plutôt tendance à lever le coude et à dire : « au suivant ! ». Mais ce n'est pas la seule façon (ni la meilleure, d'ailleurs) de déguster le vin. En effet, dernièrement, j'ai décidé de participer à mon premier cours d'oenologie. Une expérience insolite mais qui s'est avérée assez différente de ce que j'imaginais. Pour vous donner une idée, je pensais que la dégustation aurait lieu dans une cave poussiéreuse et mal éclairée. J'aurais d'une part dû soupçonner que ce genre d'atelier n'aurait pas un si grand succès, dans des conditions d'hygiène douteuse, d'autant plus quand ces ateliers sont courus par les bobos. Vous imaginez donc la surprise à mon arrivée : l'atelier ressemblait en fait à une cuisine tenue par une maniaque du ménage. Qui plus est, l'ambiance était chaleureuse et détendue : un autre choc, en ce qui me concerne ! Je pensais en effet être cerné de vieux pédants, qui me regarderaient de haut, moi qui n'ai aucune connaissance en la matière. Mais il y avait en fait des participants de tout âge, et le cours n'était pas sinistre pour un sou. Côté pratique, l'animateur a commencé par une petite formation théorique et nous a présenté les accords entre les vins et les plats. Ensuite nous avons entamé la dégustation proprement dite. Mais déguster dans un atelier de ce type, ça ne se passe pas comme à la maison. Il faut d'abord apprécier visuellement le vin, le humer avant même de le porter à la bouche. On s'habitue donc (difficilement, au début, car on se sent un peu ridicule) à le humer. Et à force d'entraînement, on en vient même à sentir des odeurs et des arômes étonnants. En bouche, on peut par exemple remarquer des arômes inédits : une note de citron vert ou de baie sauvage dans certains vins. Durant ce cours, nous avons expérimenté une dégustation à l'aveugle. Il ne s'agissait pas de goûter son vin dans le noir, évidemment (ne riez pas, mais je pensais que c'était ainsi que cela se passait !), mais de le déguster sans pouvoir voir l'étiquette du vin. Une expérience passionnante, parce que l'on ne se laisse pas influencer par l'appellation. Si vous aussi avez certaines carences en matière de vin, je vous conseille d'essayer. Ce cours d'oenologie était très savoureux. Pour plus d'informations, allez sur le site de cette activité de cours d'oenologie à Saint Emilion et trouvez toutes les infos.

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11Oct/18Off

La prise en charge du patient âgé

Ramenée au contexte de la santé, la question de la relation de service renvoie à l’implication des deux parties prenantes - patient et soignant - et à la mobilisation potentielle de leurs ressources respectives pour nourrir et faire vivre cette relation de soins. Si cet engagement est acquis dans le cadre d’une relation dite « normale », cette question prend une autre tournure lorsqu’il s’agit d’une relation qui concerne des publics vulnérables. En effet, dans ce dernier cas, les deux parties prenantes semblent à première vue s’inscrire dans un rapport asymétrique au profit de l’organisation (ici l’établissement de santé) et de ses agents (personnel de soins) qui peuvent se prévaloir d’une légitimité dans l’administration des soins fondée sur leurs compétences. Cette asymétrie est amenée à se refléter dans les pratiques d’administration de soins qui vont se (re)configurer le long des expériences de service avec les patients. Il est ainsi possible de lier les représentations du patient âgé vulnérable chez les soignants à une déclinaison de pratiques de soins qui aboutit à des instrumentalisations variées de la vulnérabilité soit pour accentuer la tutelle et le contrôle sur ce dernier, soit au contraire pour se délester de certaines tâches rentrant dans la relation de soins sur cette population (avec une palette de situations intermédiaires liées à la variété des contextes d’interaction avec les malades) dans une visée d’efficience. A l’opposé de cette vision incapacitante, on peut entrevoir une autre perspective consistant à considérer la diversité des situations de vulnérabilité rencontrées par les patients âgés et à les définir comme des individus qui ne subissent pas la relation de soins car disposant de ressources et de latitudes pour faire entendre leur voix et défendre leurs intérêts. Cette perspective ouvrirait ainsi la voie à davantage de coproduction des soins, à un « faire avec » les patients âgés dit vulnérables. Entre ces deux visions contrastées, la réalité est probablement beaucoup plus nuancée. Ces réflexions liminaires nous amènent ainsi à formuler les deux questionnements suivants auxquels nous tenterons de répondre dans ce papier : Comment et en fonction de quels référentiels et signaux renvoyés par le patient âgé « vulnérable », les soignants configurent-ils la prise en charge de ce dernier? Et dès lors, comment ces représentations se cristallisent-elles dans les pratiques de soins ?

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